Environnement et transition écologique

Epicerie Anti Gaspi
Quartier
Résumé du projet
Pourquoi ce projet ?
Dans un contexte général où les habitudes de consommation évoluent, nos sociétés font face à un enjeu environnemental, social et sociétal majeur.
A l’heure des injonctions à manger plus sainement, à favoriser les circuits courts et à protéger notre planète, l’offre alimentaire des acteurs de la grande distribution, de la distribution spécialisée, en passant par les producteurs en circuit court, est plus qu’abondante; ce qui n'aide pas à réduire le gaspillage alimentaire. On ne va pas se mentir, acheter ses aliments peut parfois virer au casse-tête !
- Le gaspillage alimentaire en France c’est 10 Millions de tonnes de produits par an (valeur commerciale de 16 milliards d’euros). Cela représente 29kg/an et par personne dont 7kg encore emballés. (Source : Ministère de la transition Ecologique et Solidaire)
- 30% de la production mondiale de denrées alimentaires destinées à la consommation humaine se perdent ou sont gaspillées.
- 10 millions de personnes précaires alimentaire en France.
- Plus de 50 % des produits jetés avant d'avoir été consommés le sont au stade de la production et de la fabrication (source ADEME)
- 87 % des personnes interrogées estiment que manger mieux, c'est être attentif à l'impact des produits sur l'environnement et la société.
- 72 % des Français privilégient désormais les références réduisant les emballages (selon une étude de L'Observatoire Cetelem).
Le concept est très simple : Réoffrir une chance aux produits boudés par les circuits de distribution traditionnels, soit parce que leur DLO/DLU est trop courte, soit parce que les fruits/légumes ne sont pas dans les standards en termes de forme, taille, état.
Ce n’est donc pas une épicerie ou un primeur supplémentaire dans la commune mais bien un acteur qui lutte contre le gaspillage en revalorisant leurs produits prets à être jetés par les acteurs déjà présents dans la commune.
La portée du projet n’est donc pas seulement économique mais surtout sociétale et environnementale. Plutôt que de les jeter, les acteurs traditionnels sont rémunérés par la vente de ses produits dits invendables ; et les consommateurs font des économies en achetant ses produits en général 30% moins que dans les commerces classiques.
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